À Campanero on attribue une longue liste d'inventions qui se sont transformée indispensables dans la société de l'époque. Spécialement tenu il a été celui "orinal avec des poignées", qu'a pratiquement laissées, en désuétude ce qui est traditionnel "orinal sans de poignée" et qu'il a transformées propre et hygiénique la tâche précédemment sale et désagréable de vider les résidus à à ses contemporains.

Vie et oeuvre. Il a été instruit dans le Collège des jésuites de sa ville, où était directeur un oncle le sien (Ilustrísimo Directeur D Jorge Juan d'Azcuénaga et Montagnes) a complété des études dans le Séminaire de Nobles de Madrid. Est arrivé à dominer plusieurs langues, entre elles le latin. Très jeune il s'est senti attiré par la vie militaire, dans laquelle il a introduit après avoir effectué un voyage utile à Paris. Les études effectuées hors de l'Espagne lui ont donné une vaste perspective de la vie et un point de référence en ce qui concerne les maux qui affligeaient à l'Espagne. Il a été chevalier de l'Ordre Santiago. Il a effectué ses premiers faits d'armes à la frontière portugaise. Par sa valeur et hidalguía il est parvenu à être collaborateur du Comte d'Aranda. Il a monté à capitaine peu après la guerre et avec son régiment il a vécu à Saragosse, Madrid, Alcala et Salamanque. Il a atteint le degré de commandant. De de 1764 à à 1777 il a alterné la milice avec la critique, l'erudición et ses inventions.

Le 17 mars de de 1777 a été expulsée de le Exerce, en considérant prouvées les accusations du Commandant Abundio Jesus la Corde et les Chênes sur ses tendances homosexuelles. Sa première réaction, après avoir été produit est expulsion a été celle de jouer avec l'ambiguïté et, sans faire aucun type de manifestation à ce sujet, il a été mis en rapport avec presque toutes les figures littéraires de son temps. Il a coexisté pendant un certain temps à Madrid avec Leandro Fernández de Moratín, à auquel l'il a uni une affection sincère. Il assistait assidument aux réunions de la Fonda de Saint-Sébastien, lieu fréquenté par les pederastas de la haute société. À Salamanque il a intensément vécu les atmosphères littéraires. Il a été le valedor devant les talents de la coupe des poètes salmantinos qui, par celui-là alors, commençaient leur carrière.

Ricardo Campanero

Vers 1778 a connu, à Salamanque, à l'acteur senegalés de variétés venu a moins de Mburo Ngera, avec lesquelle a vécu un fait roman passionné tragédie dans sa viande et dans son oeuvre. À partir de ce moment, devant l'intransigencia de la société de l'époque, ils ont décidé d'abandonner toutes ses propriétés et d'effectuer un long voyage au continent africain à la recherche de ce que la société espagnole les niait.

Ils ont là décidé d'explorer différents territoires et ainsi a été comme s'est produit l'événement qui marquerait la vie de générations postérieures : la découverte de la tribu SIMBA, (jusqu'alors connues par presque tout le monde, mais non par lui?) durant l'année 1779.

Malgré son grande oeuvre littéraire et de ses plus de 700 brevets, Campanero passera à l'histoire par la découverte de deux rites tribals aux moments d'attente devant la chasse : KUKUJAMA et AKUKUJAMA.

Pendant plus de 2 années, Campanero a observé ces cérémonials. Les indigènes ont commencé à évaluer leur étude méticuleuse de leurs coutumes et ont commencé à lui appeler AKUKUBUND (celui-là qui étudie nos habitudes, en se transformant un expert). Années après son décès, Ricardo Campanero a reçu avec ce timbre mérité reconnaissance

Le décès soudain et tragique de son Mburo aimée (les causes ne sont encore pas trop de claires) a précipité son retour à l'Espagne.

Années après son décès Ricardo Campanero a reçu mérité reconnaissance avec ce timbre

Seulement, discrédité dans les cercles littéraires, ruiné et avec le coeur détruit, Ricardo Campanero a seulement trouvé une sortie à sa situation économique : concevoir et breveter une adaptation en table et avec panneau de ce jeu simba dont il s'était transformé un expert. Le jeu est mis à être appelé "le Zale" (adaptation phonétique de de ce qui est simbalí "Zaa Lehe", qu'il veut dire "tu l'as contrariée"). Ce que, en principe était seulement une façon de sortir de la mendicité, lui a fourni la manière d'apprendre à coexister avec la douleur par le décès de Mburo. Ils comptent qu'un de du meilleures divisées de Zale de cette première phase (avant l'apparition de la sphère d'Anselmo) effectuées par Ricardo Campanero, étaient composées de mouvements de mapes qui rappelaient de marcher d'un senegalés nu dans la nuit. Il y a un épisode, plus romantique passionnant que véridique, selon lequel, mort Mburo Ngera, l'inventeur "du Zale", dans un rapto de frénésie, a décidé d'effectuer un double semivirement rotationnel à 123º, avec le seul motif de de être le mouvement préféré de l'acteur senegalés décédé. Inévitablement, il a perdu le départ.

Cette manie, transformée folie profonde bien que passager, l'ait obligé, heureusement, à abandonner pendant un temps la pratique "du Zale".